Dans un monde où tout semble à la dérive, dans un trop plein de « tout et n’importe quoi », trop noyé dans des objets en tout genre, l’homme s’est enfermé dans un cycle qu’il ne contrôle plus : acheter-accumuler-jeter et ne s’attarde plus sur leur singularité. La poésie de toutes ses petites choses aussi minuscules soient-elles semble avoir été oublié, vous savez, le genre de chose qui même une fois cassée, dépouillée, rouillée, souillée, reste impossible à jeter, le genre de chose qu’on garde malgré tout comme un précieux à conserver.